Encore une fois nous pouvons constater, avec la nouvelle campagne du Crédit Mutuel, qu'être banquier est un étonnant métier où l'on dénigre ses concurrents et quelque part son métier, pour mettre en valeur ses propres qualités. Ce manque d'esprit corporatiste n'est pas de nature à arranger l'image des banques auprès des français. À croire que les banques françaises ne perçoivent pas leurs déficits d'image comme un problème mais, plutôt comme un épouvantail, bien pratique, dont elles se servent pour communiquer. A quelle banque pensez-vous si je vous dis : proche, professionnelle, mutualiste ayant une vraie qualité de relation avec ses clients... Ce sont en tout cas, les qualités qu'une étude datant de janvier 2009, avait fait ressortir de l’image de marque de « La banque à qui parler ». Ainsi, après une bonne année de crise, le Crédit Mutuel reprend la parole pour réaffirmer la spécificité de son modèle coopératif. Une campagne TV met en scène un père e...
Merci d'avoir relayé l'information sur cette présentation. Si je peux aider à préciser certaines notions abordées, c'est avec plaisir !
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RépondreSupprimerVotre dévouement vous honore ! Si on peut décrire le phénomène, on ne peut pas donner de recette magique. Chaque marque doit mener sa réflexion stratégique et doit faire ses choix même s'ils seront plus ou moins heureux. C'est là où le choix de l'agence et des équipes sont fondamentales pour ne pas tomber dans le piège qui consiste à gérer les médias sociaux de la même manière qu'un site web. Nous croyons beaucoup chez Nouvelles Rives, à l'importance de l'engagement dans la démarche conversationnelle que sont les réseaux sociaux : échange, entraide, co-conception.
RépondreSupprimerTout-à-fait d'accord avec vous !
RépondreSupprimerLes réseaux sociaux sont un canal spécifique de communication qui nécessite qu'on lui accorde une attention particulière. Le principe du "donner pour recevoir" y est incontestablement d'application.